Violences basées sur le genre (VBG)
- Chaque jour, des milliers de femmes subissent des violences de genre.
- En 2023, une femme a été tuée toutes les 10 minutes par un proche (ONU).
- L’Afrique enregistre les taux les plus élevés de féminicides.
Les mutilations génitales féminines (MGF) concernent des millions de filles et de femmes, principalement en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie (OMS). L’Afrique de l’Ouest, particulièrement touchée, subit des inégalités de genre qui aggravent ces violences, exacerbées par les conflits et la pauvreté.
ALIMA s’engage aux côtés des survivantes en leur offrant une prise en charge médicale, psychologique et sociale.
Contexte et défi humanitaire
Des violences systémiques, souvent invisibles
Les violences basées sur le genre regroupent plusieurs types d’abus, incluant :
- Les violences domestiques (physiques, psychologiques, sexuelles, économiques).
- Les violences sexuelles (harcèlement, viol, traite et exploitation).
- Les mutilations génitales féminines (MGF), encore largement pratiquées dans plusieurs pays d’Afrique.
- Les mariages forcés et précoces, qui privent des millions de filles d’éducation et d’autonomie.
- Les violences numériques (cyberintimidation, sexting non consensuel).
💡 Pourquoi c’est un enjeu critique ?
- Une problématique mondiale aggravée par les crises humanitaires.
- Des conséquences graves sur la santé mentale et physique des survivantes.
- Un manque de structures adaptées pour assurer une prise en charge médicale et psychologique complète.
📌 En 2018, le Sénégal, le Burkina Faso, le Niger et le Mali figuraient parmi les pays les plus inégalitaires au monde en matière de genre (PNUD).
➡️ Face à ces défis, ALIMA agit pour offrir aux survivantes des soins adaptés et une prise en charge holistique.
L'action d'ALIMA
💡 Comment ALIMA protège et accompagne les survivantes de VBG ?
ALIMA adopte une approche intégrée et multidisciplinaire pour garantir une réponse complète aux violences basées sur le genre.
🔹 Sensibilisation et prévention communautaire
- Campagnes d’information et de sensibilisation pour briser le tabou des violences.
- Mobilisation des réseaux communautaires pour créer un environnement protecteur.
- Psychoéducation sur les conséquences des violences et l’accès aux soins.
🔹 Prise en charge médicale et psychologique
- Soins médicaux d’urgence pour les survivantes de violences physiques et sexuelles.
- Premiers secours psychologiques pour prévenir le stress post-traumatique.
- Groupes de parole et thérapies individuelles pour accompagner la reconstruction psychologique.
- Conseil et orientation juridique pour les survivantes cherchant à porter plainte ou obtenir un accompagnement légal.
📌 ALIMA s’assure que chaque survivante bénéficie d’une prise en charge complète et confidentielle.
🔹 Formation et renforcement des capacités
- Prévention de l’exploitation et des abus sexuels auprès des équipes médicales et humanitaires.
- Formation aux premiers secours psychologiques pour détecter et accompagner les victimes.
- Analyse des tendances des VBG dans les pays d’intervention pour améliorer la réponse humanitaire.
📌 ALIMA forme des soignants à la prise en charge des survivantes et renforce ses équipes avec des spécialistes du genre et de la sauvegarde dans ses pays d’intervention.
Questions fréquentes
- Les conflits, la pauvreté et l’instabilité aggravent la vulnérabilité des femmes et des filles.
- Le manque d’accès aux services de protection et aux soins renforce l’impunité des agresseurs.
- La stigmatisation des survivantes empêche souvent la dénonciation des violences.
- En offrant des soins médicaux et un soutien psychologique adapté.
- En sensibilisant les communautés et en renforçant les réseaux de protection.
- En facilitant l’accès aux services juridiques et sociaux pour les survivantes.
- En partageant les campagnes de sensibilisation pour briser le silence.
- En soutenant les organisations qui accompagnent les survivantes.
- En veillant à promouvoir l’égalité des genres dans votre entourage et milieu professionnel.
Sur le terrain
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