Dans une analyse sur l’évolution des pratiques des ONG face aux enjeux climatiques et aux relations Nord / Sud, The Conversation cite ALIMA comme exemple de transition vers un modèle plus durable.
En 2020, près de 30 % de l’empreinte carbone d’ALIMA provenait de ses approvisionnements. Pour réduire cet impact, nos équipes privilégient aujourd’hui l’achat de matériel médical au plus près des zones d’intervention et remplacent, lorsque c’est possible, le transport aérien par le fret maritime.
Ces initiatives s’inscrivent dans une volonté plus large de transformer les modes d’action humanitaires pour les rendre plus responsables sur le plan environnemental, tout en maintenant un haut niveau d’efficacité opérationnelle.
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