À Tawila, à 70 kilomètres d’El Fasher, des camps de fortune accueillent déjà, tant bien que mal, des centaines de milliers de déplacés. Les humanitaires doivent désormais prendre en charge de nouveaux arrivants épuisés, affamés et traumatisés.
« La plupart des enfants qui arrivent ici sont vraiment dénutris, parce qu’à El Fasher, il y a la famine, il n’y a plus de nourriture. C’est visible. Vous les voyez très maigres à cause de ce qu’ils ont enduré. »
Coordinateur d’ALIMA, sur place
🎧 À écouter sur RTL, à partir de 19:17
Photo de couverture : © AFP
