« L’insécurité favorise les violences basées sur le genre »
La République centrafricaine est l’un des pays les plus pauvres au monde. Le contexte sécuritaire est tendu et la situation humanitaire continue de se détériorer : « les citoyens ont un accès insuffisant aux services de base, (…) la violence basée sur le genre (VBG) est généralisée »¹, selon la Banque Mondiale. Rencontre avec Gypsie Christelle Nambozouina, 30 ans, psychologue clinicienne à la maternité des Castors, à Bangui.
Santé nutritionnelle et mentale : au cœur du projet « 1 000 jours » au Burkina Faso
Au Burkina Faso, alors que la situation sécuritaire et humanitaire se dégrade, ALIMA (The Alliance for International Medical Action) soutient le couple mère-enfant dans les 1 000 premiers jours de vie des enfants, dans le cadre du projet gouvernemental « Filets Sociaux », visant à lutter contre la pauvreté dans plusieurs régions du pays.
Au Sénégal, s’appuyer sur des tontines pour remettre les personnes vulnérables sur le chemin des centres de santé
Engagée dans la campagne “YES, AFRICAN” d’ALIMA (The Alliance for International Medical Action), Angélique Zapata, ancienne candidate de l’émission TV Koh-Lanta très suivie sur Instagram, a réalisé une visite immersive dans un des postes de santé soutenus par ALIMA dans le cadre de la riposte contre la COVID-19.
Le sourire d’Aminata, sage-femme en Mauritanie
Bienvenue à Mbera!
Témoignage de terrain : 3 questions à Mireille, une sage-femme en RCA
La République centrafricaine (RCA) affiche l’un des taux de mortalité maternelle les plus élevés au monde, avec 890 décès pour 100 000 naissances. Le réussite des programmes sur le terrain dépend avant tout de nos équipes qui s’emploient, chaque jour, à dispenser une prise en charge de qualité. A ce titre, les sages-femmes jouent un rôle particulièrement important dans la réduction de la mortalité maternelle en aidant les femmes à accoucher en toute sécurité.
Mireille, une sage-femme de 33 ans de la RCA travaille avec ALIMA depuis avril 2017 en tant que superviseure sage-femme à Bimbo, dans le sud-ouest de la ville, affirme que son travail, avec ses quatre fils, est sa plus grande fierté.
De retour du Kasaï: au cœur du néant. Témoignage d’un photographe
Alexis Huguet, photographe freelance vit en Afrique depuis trois ans. Aujourd’hui il nous raconte sa deuxième mission effectuée pour ALIMA qui l’a conduit en RDC dans la région du Kasaï. Alors que l’insécurité demeure en raison de poches de milices armées encore actives, que les populations déplacées ont toutes les peines du monde à se réinstaller, les besoins médicaux sont énormes. ALIMA a apporté son soutien à deux hôpitaux à Kamuesha et Kalonda Ouest et a ouvert neuf centres de santé à Kamuesha pour apporter des soins primaires et secondaires et lutter contre la malnutrition.
« Faire un don de sang et sauver des vies »
Quand Maimuna, âgée de 35 ans, a atteint sa 37ème semaine de grossesse, elle est rentrée chez elle à Monguno, dans le nord-est du Nigéria, pour vivre dans un camp de personnes déplacées.
Mali : « Une femme ne devrait pas mourir en donnant la vie »
Dans les districts de Diré et Goundam, dans la région de Tombouctou au nord du Mali, les équipes d’ALIMA (The Alliance for International Medical Action) et AMCP (Alliance Médicale Contre le Paludisme) appuient le ministère de la santé pour soigner les populations les plus vulnérables. Parmi ces populations, des enfants, mais aussi des femmes enceintes.
1000 Jours : repenser les soins mère-enfant
DAKAR, le 18 juillet 2017 – Zayatou Malam Hassan, âgée de trente ans, affirme avoir « souffert énormément » lors de sept grossesses compliquées, dont l’une a donné lieu à l’accouchement d’un mort-né chez elle, avant de s’inscrire au programme 1000 Jours d’ALIMA, un programme qui revisite la conception des soins mère-enfant en offrant un ensemble gratuit et complet de soins pré et postnataux aux femmes enceintes et à leurs enfants, jusqu’à l’âge de deux ans.